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L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !
vendredi 26 octobre 2018, par
édito
L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !
Il suffit qu’un trust décide de fermer une usine pour qu’il ait le droit de le faire, du moins en droit bourgeois. Peu lui importe que des centaines d’emplois soient supprimées, des centaines ou même des milliers de vies foulées aux pieds, que les investissements d’Etat et les cadeaux fiscaux des gouvernants soient jetés à la poubelle, peu lui importe que le site industriel devienne une friche définitivement inhospitalière, invivable, inconstructible, ayant subi des pollutions que le trust ne nettoiera jamais, que personne même ne nettoiera jamais. Et ce n’est pas sur les gouvernants au service de la bourgeoisie qu’il faut compter pour imposer quoique ce soit aux trusts, pour imposer l’interdiction de la fermeture et des licenciements, y compris quand l’entreprise, comme c’est le cas d’Ascoval, était considérée comme rentable par son patron. Les gouvernants font semblant d’être fâchés, de demander au patron de prendre d’autres décisions, mais le gouvernement ne bouge pas le petit doigt, bien entendu, pour imposer quoique ce soit au trust. Ce n’est pas là son rôle social.
C’est comme cela que les licenciements succèdent aux licenciements, en particulier dans les sites industriels. C’est comme cela que les emplois, industriels ou autres, chutent sans cesse. Il n’est jamais question pour les gouvernants d’imposer aux trusts de tenir des engagements pris pour obtenir des aides d’Etat, pas question d’exiger des trusts de rembourser ces dettes, pas question d’imposer au trust de nettoyer les anciens sites industriels. Le Capital a tous les droits et le Travail n’en a aucun, paravent démocratique ou pas.
Il n’en est pas question non pas parce que ce ne serait pas juste mais parce que les Etats sont exclusivement au service des trusts, c’est-à-dire de cette infime minorité de la population que sont les possesseurs du grand capital, c’est-à-dire moins de un pourcent. Il n’en est pas question même quand le sort de régions entières, de pays entiers, de peuples entiers est en jeu. Aucun Etat bourgeois n’a jamais rien imposé en la matière aux patrons des trusts ni ne le fera jamais.
Les réformistes ont beau crier, pleurer, grogner, protester, proposer, négocier, faire du bruit ou du blabla, ils ne font que réclamer du lait d’un bouc !
L’Etat bourgeois jamais n’interdira les licenciements, n’empêchera les fermetures d’usines, n’imposer quoique ce soit aux trusts et au grand capital !
Pourtant, les syndicats et partis réformistes ne font que cela, réclamer à l’Etat bourgeois d’intervenir alors qu’étant au service du capital, cet Etat ne risque pas d’agir contre ses mandants. Ils ne font qu’agiter le mensonge classique selon lequel « l’Etat devrait être au service de toute la population ». Il devrait disent ces moralistes bidon mais l’a-t-il jamais été ? Non ! Il a été créé pour et par la bourgeoisie. Son droit est celui des propriétaires et l’a toujours été. Son administration, ses hauts responsables sont spécialement sélectionnés pour défendre les intérêts généraux du grand capital, quel que soit les gouvernants, leurs couleurs politiques, quels que soient les époques, crise ou pas crise, bonne affaires ou mauvaises affaires.
Pour tous les défenseurs de la société bourgeoise, les possesseurs de capitaux font ce qu’ils veulent avec et ce n’est pas aux travailleurs de dire ce que doit faire le capital.
C’est ainsi que les réformistes politiques et syndicaux n’offrent aux travailleurs que des perspectives complètement bidon, celles de « faire pression » sur les mamelles du bouc… qu’il ne possède pas, c’est-à-dire de faire appel au sens de l’intérêt général de l’Etat bourgeois, sens qu’il ne possède pas et que la plus grande des impopularités ne pourrait pas lui donner, pas plus que la plus grande des mobilisations syndicale ou sociale.
Les réformistes essaient de faire croire que leurs journées d’action et « mobilisations » sont un moyen d’imposer aux trusts et aux gouvernants de prendre des mesures pour « aider une industrie », pour « sauver une région », pour « imposer l’intérêt général aux trusts » et autres balivernes. Dans la réalité, il n’en a jamais été ainsi, dans aucun pays, à aucune époque. Ce qui n’a pas empêché les menteurs de continuer à mentir.
Et on voit même les représentants les plus considérés de la gauche de la gauche ou de l’extrême gauche opportuniste officielle, faire comme si une grande mobilisation allait permettre que l’Etat recule et cesse de défendre la classe dominante !!!
En fait, ces soi-disant radicaux ne font qu’accompagner, à gauche, les discours et actes des réformistes, ne faisant que les radicaliser dans la forme mais pas sur le fond. Quand ils mettent en avant « l’interdiction des licenciements », c’est toujours en laissant croire qu’on pourrait imposer cette mesure sans révolution sociale, sans renversement du pouvoir de la bourgeoisie, sans remise en cause de la propriété privée des moyens de production, sans suppression radicale du droit des possesseurs du grand capital sur toutes les richesses et sur toutes les décisions, et, en particulier, suppression de la mainmise des capitalistes sur l’Etat par la destruction de l’Etat bourgeois.
Ce type de perspective est complètement exclue par nos bureaucrates syndicaux dont les revenus proviennent pour l’essentiel de ce même Etat bourgeois et des fonds provenus des caisses de ces trusts. Peut-on leur demander de cracher sur la main qui les finance ? Là encore, les gauches de la gauche et les extrêmes gauches opportunistes laissent croire qu’une grande mobilisation pourrait contraindre les bureaucraties syndicales à lancer une lutte imposant aux trusts de ne pas licencier, de ne pas fermer de sites, de ne pas détruire la société et la vie des gens. Là encore, ils continuent à vouloir traire le bouc ou, du moins, à faire semblant que le lait viendra de là !
Un autre mensonge de ces réformistes politiques et syndicaux consiste à dire aux travailleurs de se battre pour leur entreprise, pour leur région, pour leur emploi, sans généraliser jamais cette lutte.
Ainsi, les travailleurs d’Ascoval, à la suite de travailleurs de toutes sortes d’autres entreprises et de pays, sont contraints de contenter de se battre seuls, dos au mur, de pleurnicher après des repreneurs capitalistes et après un gouvernement et un Etat capitaliste, après une justice et un droit bourgeois, pendant que, dans d’autres entreprises, les mêmes fermetures et licenciements ont lieu ou se préparent.
Et, bien entendu, pas question pour les réformistes et leurs cautions politiques de toutes couleurs, de lier l’attaque contre les emplois à toutes les autres attaques antisociales en cours, celles contre les services publics, celles contre les aides sociales, celles contre le droit du travail, celles contre la santé et on en passe…
Alors, pour remettre en question le droit des patrons de licencier, pour remettre en question le droit des patrons de fermer des usines, pour remettre en question le droit des gouvernants de faire des cadeaux financiers aux capitalistes aux dépens de toute la population, il faut renverser la propriété du grand capital, le droit du grand capital et l’Etat du grand capital !
Seuls les travailleurs eux-mêmes peuvent réaliser une telle révolution sociale et, s’ils veulent sauver leurs emplois et leurs vies, ils doivent prendre d’abord le pouvoir sur leurs propres luttes sociales et politiques, c’est-à-dire s’organiser par eux-mêmes, penser par eux-mêmes et discuter entre eux de leurs perspectives sociales et politiques. S’ils ne le font pas, les capitalistes leur réservent un avenir bien sombre. S’ils le font, ils ont devant eux de vastes perspectives.
Messages
1. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 27 octobre 2018, 03:40
La CGT a entrainé des salariés d’Ascoval à bloquer un site de Vallourec pour « mettre la pression ». Sur Vallourec ? Sur le tribunal qui doit décider de la fermeture ou de la reprise ? Sur le gouvernement ? En leur faisant craindre quoi ?
Quelle raison auraient les patrons et leur gouvernement de craindre les Ascoval si ceux-ci ne représentent pas un danger pour la paix sociale ?
S’ils ne s’organisent pas par eux-mêmes, s’ils n’appellent pas les autres salariés en lutte à en faire de même.
Tant qu’ils se font promener par les syndicats d’action en négociation, ils ne font que suivre le même chemin qui a mené aux mêmes murs pour aller s’écraser !!!
1. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 27 octobre 2018, 07:44, par Un parmi d’autres
Facile à dire mais que proposez-vous ?
2. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 27 octobre 2018, 07:45, par Robert Paris
Un lecteur nous avait déjà écrit : « Vous critiquez la politique des directions syndicales, mais que proposez-vous aux syndicalistes ? »
Nous lui avons répondu ici
1. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 28 octobre 2018, 06:33, par jean-Louis Roche
bravo pour la réponse mais toujours trop long mon cher Robert et un peu utopique car c’est le genre de question provocatrice du bonze de base aussi con que ses chefs syndicaux ! il l’a connaît la vraie réponse ton réformiste "radical", donc il se fout de ta gueule ! moi je lui réponds : et ta sœur elle propose quoi ?
3. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 28 octobre 2018, 06:33, par Robert Paris
Connaître la vraie réponse, je ne crois pas. Les pires faux amis sont honnêtes et croient à leurs mensonges. ils sont empêtrés à 1000% dans ces mensonges là, à commencer par celui selon lequel le capitalisme durera toujours. Et ce n’est pas si utopique que ça de penser que l’effondrement du capitalisme peut les faire changer. Et que quelques idées adéquates à cette nouvelle situation peut les aider à trouver une boussole. Le monde ne se divise pas en bons et méchants, à mon avis.
4. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 3 novembre 2018, 06:09
Les syndicats ont fait reprendre le travail aux salariés d’Ascoval !!! Qu’ont-ils obtenu ? Ont-ils des garanties pour leurs emplois, contre la fermeture du site ? Même pas ! Ils reprennent sur du vent : un "bon" repreneur qui aurait montré patte blanche !!!
5. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 10 novembre 2018, 04:53
« On fera tout pour qu’Ascoval soit sauvée », promet Emmanuel Macron. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient !
6. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 30 novembre 2018, 06:52
Ni à Ascoval ni à Vallourec !!! Pas plus que Trump contre General Motors !
Vallourec prépare un plan social de grande ampleur en France et en Allemagne pour faire face à ses échéances financières et réduire drastiquement ses coûts, rapporte mercredi le magazine Challenges dans son édition en ligne.
Selon l’hebdomadaire, près de 1.200 emplois et trois sites du producteur de tubes sans soudure en acier seront touchés l’an prochain en France par cette restructuration, qui concernera les sites de Montbard (Côte d’Or), Saint Saulve (Nord) et Aulnoye (Nord).
Toujours selon Challenges, l’Allemagne et son site de Düsseldorf sont également concernés avec plus de 600 emplois supprimés.
7. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 2 mars 2019, 06:16
La "belle histoire" du capitaliste repreneur d’Ascoval chantée par les gouvernants, les politiciens et les syndicats a fait un flop ! Il serait temps d’arrêter de suivre les mensonges de ces gens-là et de mener l’action directe auto-organisée dans les entreprises comme les Gilets jaunes !
8. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 2 mars 2019, 06:18
Ils licencient, déclarons la guerre sociale !
Les entreprises qui licencient n’ont toujours pas vraiment rejoint le combat des Gilets jaunes, blocage syndical bureaucratique oblige. Pourtant, les salariés des Fonderies du Poitou ou celles de Ford Blanquefort avaient reçu l’appui des Gilets jaunes. Mais les syndicats sont toujours à courir après des négociations et des repreneurs et des promesses gouvernementales, avec l’insuccès qu’on a encore vérifié à Ascoval…
9. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 23 mai 2019, 07:41
Les syndicats nous disaient : voyez, la négociation a payé, Ascoval a un repreneur !
Mais le groupe britannique British Steel, repreneur de l’ex-aciérie Ascoval de Saint-Saulve, placé sous administration judiciaire !!!
10. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 24 mai 2019, 07:15
Casino, qui gère les enseignes Monoprix, Franprix, Leader Price, Naturalia ou Cdiscount, est maintenant menacé de faillite avec menace sur 75.000 emplois !! Sa maison mère, Rallye, a été placée sous le régime de la procédure de sauvegarde pour une période de six mois.
11. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 24 mai 2019, 07:18
Le ministre de l’Industrie a tenu un discours rassurant aux salariés d’Ascoval : il a réussi à prétendre qu’ils étaient rachetés par une entreprise en faillite mais qu’ils ne craignaient rien !!! Fameux les bateleurs de foire politiciens !!!
12. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 29 mai 2019, 11:19
Et, malgré ses discours démagogiques, l’Etat français ne compte pas interdire les mille licenciements de General Electric en France !!! La responsabilité passée d’Emmanuel Macron dans la vente de la branche énergie d’Alstom à GE risque de faire polémique avec les 800 postes, sur l’activité turbines à gaz de Belfort...
13. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 30 mai 2019, 08:00
Avec General Electric, l’Etat et les syndicats nous rejouent la même scène mensongère u’à Ascoval et partout !!! Demander à l’Etat capitaliste de nous sauver des capitalistes, c’est demander au plus grand bandit de nous sauver des bandits et, malgré leurs grands cris, les syndicats ne font et ne feront pas autre chose. Les salariés de GE eux ont autre chose à faire : à diriger eux-mêmes une lutte de classe contre les licenciements !
14. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 30 mai 2019, 08:06
Les syndicats de General Electric ont donné une conférence de presse, au lendemain de l’annonce de la suppression d’un millier de postes. Pas pour déclarer qu’ils lancent la lutte mais qu’ils veulent croire... à la diversification du site pour sauver le maximum d’emplois. Il y aura certes des actions mais pas pour relier la lutte des GE aux Gilets jaunes, aux Urgences, aux autres entreprises qui licencient, pas question de luttes de classes et le but des "actions" syndicales est de valoriser le site capitaliste !!!
15. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 30 mai 2019, 08:15, par alain
1 044 postes exactement vont être supprimés, essentiellement dans la branche gaz, mais aussi dans le centre de service qui gère la comptabilité. Cela représente, selon France Bleu, un salarié sur quatre dans le département du Territoire de Belfort.
Les syndicats crient mais ils avaient entériné les arnaques précédentes : General Electric, après avoir racheté la branche énergie d’Alstom en 2015, s’était engagé à créer 1 000 emplois en France. En 2018, General Electric avait supprimé 12 000 emplois dans le monde, dont 5 000 Europe : principalement en Suisse, en Allemagne et en Grande-Bretagne.
Les syndicats avaient cautionné les mesures de Macron et s’estiment trahies !!! Une fois de plus la méthode réformiste a donné ses résultats et les syndicats continuent de lutter... pour négocier !!!
16. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 4 juin 2019, 08:03
Bruno Lemaire :
« Le plan social de General Electric doit être amélioré ». Belle hypocrisie !!! Le même avait cautionné les accords de l’Etat avec General Electric dans lesquels ce dernier ne s’engageait pas à grand-chose : à preuve…
17. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 20 février 2020, 06:41, par révoltant
Airbus fait des affaires en hausse et pourtant annonce 1300 suppressions d’emplois ! Pas de véto gouvernemental bien entendu à ces licenciements !!!
18. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 18 mars 2020, 07:02, par Florent
Malgré les déclarations de la ministre Pénicaud, Edouard Philippe écarte l’interdiction des licenciements !!! Le Premier ministre a dit ne pas croire que l’interdiction administrative des licenciements "était une solution totalement satisfaisante". "Tous les moyens" seraient utilisés "pour protéger les grandes entreprises françaises", démontrant ainsi qu’il ne s’agit pas de protéger les salariés. De même, la suppression du paiement des loyers n’est pas celle des propriétaires mais des entreprises !!! La suppression des dettes n’est pas celle des ménages mais des entreprises, etc...
19. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 24 novembre 2020, 07:01, par Laurence
Et pas non plus à Danone !!!
Le Groupe Danone verse 1,5 milliard d’euros aux actionnaires et licencie 2 000 salariés !!!!
20. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 24 novembre 2020, 07:07, par révoltant
Tous les trusts et banques lancent des plans de licenciements !!! Il n’y a pas que des suppressions d’emplois précaires !!! Un million de suppressions d’emplois par plans sociaux sont en cours de réalisation en France !!!
Puisque le capital ne peut plus employer les salariés, puisqu’il ne peut vivre que de l’argent public ainsi qu’en ruinant la petite bourgeoisie, il doit être exproprié !!!
21. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 24 novembre 2020, 07:08, par révoltant
Il faut une lutte d’ensemble : Danone, Renault, Vallourec, IBM, Danone, Société Générale et l’hôpital public, une lutte qui soit sociale et politique et surtout auto-organisée !!!!
22. L’Etat bourgeois n’interdira pas les licenciements, ni à Ascoval, ni ailleurs ! Faisons-le nous-mêmes !, 10 mars 2021, 07:38, par révoltant
Le ministre de l’économie affirme « il n’y aura pas de destruction d’emploi en France »… à propos d’Ascoval !!!