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Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!
mardi 29 décembre 2015, par
Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!
Alors qu’un certain courant des climatologues prédit le chaud, d’autres soufflent le froid !!! La climatologie a toujours connu ses courants chauds et ses courants froids…
Les scientifiques de la NASA assurent aussi avoir constaté que le Soleil se retrouvait dans des conditions assez similaires que lors de la période du minimum de Maunder. Ainsi, s’ils affirment que 2013 a été l’année du « maximum solaire » ils établissent à 20% la probabilité que les températures évoluent vers « des modifications majeures ». C’est le cas de Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory, qui a assuré à la BBC « n’avoir jamais rien vu de tel en trente ans ». « Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace » certifie ce scientifique.
Ce n’est pas la première fois que l’hypothèse d’un nouvel âge de glace est évoquée. Déjà en 2011 le site The Register titrait : "La Terre se dirige peut-être vers un mini-âge glaciaire". Dans l’article, il était écrit : "Des scientifiques National Solar Observatory (NSO) et de US Air Force Research Laboratory et l’US Air Force Research Laboratory analysent le comportement récent du Soleil, et tout indique qu’une période d’activité solaire inhabituellement basse peut être sur le point de commencer." De quoi réjouir les ours polaires…
Concrètement le nombre de taches solaires est en forte diminution depuis 2011 et les éruptions solaires sont de moins en moins importantes et de plus en plus rares. Ce qui fait dire à Mike Lockwood de l’Université de Reading que « d’ici à 40 ans, il y a une probabilité de 10 à 20% de retraverser un âge glaciaire tel que durant la période du minimum de Maunder ». L’an dernier déjà la NASA mettait en garde sur le fait « quelque chose d’inattendu » qui se passe sur le Soleil ".
D’après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.
La Terre va-t-elle connaître de nouveau un « petit âge glaciaire » ? D’après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l’activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d’ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée « Minimum de Maunder », se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible.
Pour avancer cette hypothèse, l’organisme se base sur la mise au point d’un nouveau modèle des cycles solaires qui permet « des prédictions d’une précision sans précédent », commente l’organisme. Le modèle repose sur l’analyse de la circulation des champs magnétiques à l’intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé « effet dynamo ».
« Nous avons remarqué que les deux vagues magnétiques qui circulent à l’intérieur du Soleil ont pour origine deux différentes couches de matière. Elles ont toutes deux une fréquence d’environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours d’un cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du Soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97% », a expliqué le professeur Valentina Zharkova, lors d’une présentation devant l’Assemblée nationale de l’astronomie à Llandudno, au nord du Pays de Galles.
Actuellement, nous sommes dans une période interglaciaire, appelée Holocène, particulièrement propice au développement de nos civilisations, et qui a débuté il y a environ 11 700 ans. Alors qu’une période glaciaire dure environ 80 000 ans, les périodes interglaciaires sont plus courtes (de quelques milliers d’années à 20 000 ans). Ce qui signifie que la Terre devrait connaître au maximum dans un ou dans quelques millénaires une nouvelle période glaciaire.
Rappelons qu’au moment du dernier maximum glaciaire, il y a environ 20 000 ans, le sol européen était en partie gelé et le niveau de la mer était inférieur d’environ 120 mètres. En hiver les températures descendaient régulièrement jusqu’à -30°C, les pingouins et les phoques se baignaient en Méditerranée, les glaciers recouvraient l’Ecosse et le nord des Pays-Bas, la Manche était à sec et on pouvait donc rejoindre l’Angleterre... A pied !
De nouveaux calculs ont été effectués par une équipe internationale pilotée par Chronis Tzedakis à l’University College London (UCL).
En se basant sur les signes précurseurs d’un changement de cycle via l’analyse des changements brusques de températures au Groenland et en Antarctique, ces scientifiques ont identifié une période nommée stade isotopique 19 (Marine Isotope Stage 19c - MIS19c) similaire à la nôtre (même quantité d’énergie solaire reçue), il y a 780 000 ans. Cette période aurait duré environ 10 800 ans, ce qui est comparable à la nôtre.
Lorsqu’elle prit fin, des changements profonds des courants océaniques eurent lieu, précipitant la Terre dans une nouvelle période glaciaire.
Ainsi, par analyse des signes précurseurs passés, la prochaine période glaciaire ne devrait pas apparaître dans quelques dizaines de milliers d’années mais dans seulement... 1 500 ans, c’est à dire demain, à l’échelle de l’histoire climatique de la Terre !
Le professeur Tzedakis a déclaré : "l’incertitude concernant l’imminence d’un hypothétique âge glaciaire découle de la faiblesse inhabituelle du rayonnement solaire minimum en été, ce qui caractérise la situation actuelle."
Or, les chercheurs ont constaté que le début de l’ère glaciaire qui s’est produit il y a environ 780 000 ans, s’est amorcé dans les mêmes conditions de rayonnement solaire qu’actuellement. Toutefois, à cette époque, un facteur de taille n’était pas le même qu’aujourd’hui : il s’agit de la concentration en gaz à effet de serre.
En effet, il y a 780 000 ans, les concentrations en dioxyde de carbone ne dépassaient pas 240 ppm[3], contre près de 400 ppm actuellement ! Et cela change tout... De telles quantités de gaz à effet de serre contribuent à réchauffer significativement l’atmosphère comme en témoignent les records de températures enregistrés depuis des décennies. Ce qui devrait alors retarder l’arrivée de la prochaine glaciation.
Si les paramètres astronomiques semblent réunis pour l’imminence d’un nouvel âge glaciaire, les concentrations en gaz à effet de serre devraient être inférieures à 240 ppm[4].
"Aux niveaux actuels de CO2, et même si toutes les émissions stoppaient instantanément, nous connaîtrions probablement une longue période interglaciaire, dont la durée dépendra des mécanismes de long terme qui interviendront pour résorber ce CO2", précise le Dr Skinner du département des sciences de la Terre de l’Université de Cambridge.
En outre, une étude d’octobre 2015 publiée dans la revue Geology, précise que la fin de notre climat doux interglaciaire et le début de la prochaine glaciation sont probablement d’ores et déjà retardés, du fait de l’augmentation progressive, depuis 6 000 à 8 000 ans de la teneur atmosphérique en gaz à effet de serre. Comment expliquer cet accroissement multi-millénaire alors que l’industrie et la combustion par le dioxygène n’existaient pas encore ? Leurs auteurs suggèrent que ce sont les grands défrichements et donc le changement d’utilisation du sol qui ont commencé à faire grimper les concentrations en gaz à effet de serre.
Le réchauffement climatique : une bonne nouvelle pour atténuer les glaciations ?
Si cela semble être une bonne nouvelle et pourrait satisfaire les allergiques aux mesures de réductions des émissions de gaz à effet de serre, le professeur Tzedakis insiste sur le fait "qu’aucune variabilité naturelle ne pourra modérer les effets d’un réchauffement planétaire d’origine anthropique".
Soulignons qu’il y a seulement 20 000 ans, le climat et les paysages de l’hémisphère Nord étaient profondément différents avec des températures moyennes de seulement 5°C inférieures à celles que nous connaissons actuellement.
Or, Luke Skinner a averti que l’action de l’Homme ne se borne pas à maintenir artificiellement le climat en mode interglaciaire, mais le réchauffe considérablement. En effet, à cause de nos activités polluantes et de notre inertie politique, la température moyenne devrait augmenter d’au moins 2°C et d’au plus 6,4°C selon les prévisions du GIEC : la face du monde et nos sociétés s’en trouveront bouleversées pour des millénaires et ce, non pas dans des milliers d’années, mais dans seulement quelques générations...
Notes
(1) Le climat : jeu dangereux ; Jean Jouzel, Anne Debroise
(2) Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte, Michel Petit, Edouard Bard...
(3) Parties par million
(4) Des études conduites par Lawrence Mysak de l’Université McGill à Montréal, envisagent une valeur de 20 à 30 ppm plus élevée)
La Société Astronomique Royale Britannique a présenté les résultats d’une étude concernant la modélisation des cycles solaires. Rien de bien nouveau en réalité, car le fonctionnement cyclique du soleil est relativement bien connu. Mais ce nouveau modèle met en évidence le ralentissement sévère de l’activité solaire (irradiance et nombre de tâches solaires) dans les prochaines décennies. Il est à noter que le cycle solaire actuel (cycle 24) est déjà relativement faible, mais l’étude indique que nous devrions assister à une diminution de l’ordre de 60% de l’activité solaire dans les prochains 90 ans.
D’ici à 2030, l’irradiance solaire (puissance du rayonnement exprimée en watt par m2) pourrait être aussi faible que lors du dernier « minimum », survenu de 1645 à 1715, où cette diminution s’était accompagnée d’un « petit age glaciaire » en Europe, en Amérique du Nord et en Chine notamment, plongeant nos contrées dans des hivers extrêmement rigoureux et des années sans été. Les fleuves gelaient (la Seine et la Tamise par exemple, que l’on pouvait traverser à cheval sur la glace) tandis que nos glaciers descendaient jusque dans les vallées. L’agriculture était alors ruinée, provoquant disettes et maladies. Un autre minimum s’était ensuivi (minimum de Dalton) dans les années 1800, avec des hivers encore une fois rigoureux (-24°C à Paris).
Selon l’étude britannique, les causes de cette diminution de l’intensité solaire sont liées aux vagues magnétiques qui régissent les cycles du soleil (effet dynamo). Ces cycles sont nombreux, les plus immédiats étant le cycle de 11 ans et le cycle de 200 ans. Pour ces prochaines décennies, les deux vagues magnétiques du soleil vont se désynchroniser, induisant alors la baisse d’activité. La diminution serait rapide en vue du cycle 25 (minimum en 2022) puis s’accentuerait encore lors du cycle 26 (décennie 2030-2040).
Âge glaciaire en perspective ?
Au vu de cette étude, les médias ont rapidement corrélé cette prévision de baisse d’activité solaire a ce qui s’était produit entre le 17ème et le 18ème siècle : à savoir un petit âge glaciaire, d’où les titres apparus cette semaine : « vers une mini glaciation en 2030 » (citation). Pourtant, l’étude britannique en question n’évoque à aucun moment cette possibilité, indiquant seulement que les conditions solaires seraient celles observées lors du Petit Âge glaciaire. Cette nuance a son importance.
Alors, à quoi faut-il s’attendre d’un point de vue climatique ? La réponse en vidéo avec notre expert en climatologie Régis Crépet.
Sources : Royal Astronomical Society et Pulkovo Astronomical Observatory in Russia
Le rôle des éruptions volcaniques sur le climat est désormais assez bien connu, et il est clair qu’elles ont une incidence directe sur les températures en propulsant dans l’atmosphère des quantités plus ou moins grande de cendres et de suies. Il est admis que les éruptions majeures entraînent un refroidissement temporaire du climat.
De multiples éruptions volcaniques stoppent le réchauffement climatique ?
Les éruptions volcaniques majeures ont entrainé dans le passé des refroidissements climatiques temporaires, ayant parfois eu des répercussions sur l’ensemble de la planète. Ces grandes éruptions projettent dans la haute atmosphère de grandes quantités d’anhydride sulfureux, ce qui a pour conséquence de réflechir vers l’espace une partie des radiations solaires. Ce fut le cas du volcan indonésien Tambora en 1815 ("l’année sans été" car il avait fait froid toute l’année suivant l’éruption). Plus près de nous, de puissantes éruptions ont fait baissé les températures planétaires de 0,2° à 0,6° (en général, donc moins de 1°C de baisse, ce qui est déjà considérable) tel que le volcan El Chichon (Mexique, 1982) et surtout le Pinatubo (Philippines, 1991), qui avait projeté 20 millions de tonnes de soufre. Mais depuis les années 2000, les éruptions massives se sont calmées pour laisser place à de multiples éruptions modérées, qui crachent dans l’atmosphère des panaches de cendre et de suie assez fréquents. Il est admis que certaines particules absorbent une infime partie du rayonnement solaire lorsqu’elles sont suffisament hautes dans l’atmosphère (entre 15 000 et 20 000 m d’altitude). Ces cendres, présentes au-dessus de la troposphère, ne peuvent plus retomber au sol et s’étalent jusqu’à faire parfois le tour de la planète. Elles provoquent dès lors un léger réchauffement à des hautes altitudes mais entrainent également un léger refroidissement de la surface de la terre et même de l’océan. Même minime, ce refroidissement est capable d’engendrer des hivers plus froids et des gelées tardives. Selon des études scientifiques, les multiples éruptions volcaniques modérées qui se produisent depuis l’An 2000 auraient pu ralentir le réchauffement climatique "théorique" de l’ordre de 0,12°C. Il faut savoir, en effet, que les modèles numériques climatiques "ne prennent pas en compte les effets des éruptions volcaniques, car elles sont quasiment impossibles à prévoir sur le long terme" (Alan Robock, climatologue à l’Université Rutgers (New Jersey).
Ce scénario d’un volcanisme assez actif depuis les années 2000 à la surface du globe pourrait en partie expliquer la "pause du réchauffement climatique" observé contre toute attente depuis lors, bien que les températures planétaires restent bloquées au même niveau (d’ou l’appelation de "plateau" du réchauffement climatique). En effet, l’année la plus chaude au niveau planétaire reste 1998 : depuis cette année-là, le niveau global des températures restent très élevé mais ne dépasse plus ce seuil, alors que les modèles numériques calculaient la poursuite de la hausse.
Des scénarios catastrophes
Dans le cas où l’éruption actuelle se poursuivrait avec une augmentation de son intensité, il est possible que les cendres soient éjectées à de plus hautes altitudes, au-delà de 15 km, dans la stratosphère. A cette altitude soufflent des vents violents et réguliers appelés courants jets ( ou : Jet-Stream ) qui peuvent disperser les particules sur une étendue géographique beaucoup plus vaste . Elles resteraient en suspension beaucoup plus longtemps et les particules pourraient alors avoir un effet à longue durée sur la température en réfléchissant vers l’espace une petite partie du rayonnement solaire. C’est l’inverse de l’effet de serre, faisant baisser la température au sol et réchauffant la haute atmosphère.
Les grandes éruptions volcaniques contrarient le réchauffement climatique. De ce point de vue, elles sont bénéfiques à l’échelle de la planète.
Les volcans islandais : une menace pour l’Europe
Le 8 juin 1783, l’éruption du volcan islandais Laki déversait un flot de lave et de poussière sur la terre et dans le ciel. Cette éruption gigantesque a été catastrophique pour tout l’hémisphère nord et entraîna une modification profonde du climat pendant plusieurs années.
En partie à l’origine de la révolution française, elle a généré un tel bouleversement climatique des années durant que les peuples affamés se sont révoltés. Tout d’abord, pendant plusieurs mois, le ciel était devenu rougeatre et flamboyant au-dessus de l’Europe. Il s’agissait en fait des conséquences de l’éruption volcanique du Laki en Islande cette même année. A cause des fumées qui masquaient en partie le rayonnement solaire, cette éruption apporta quelques années plus froides que la normale et conduira, à cause des famines qu’elle engendrera, à la révolte des paysans français en 1789. Les irlandais eux débarqueront en masse pendant ces années là pour trouver un meilleur avenir aux états-unis naissants... Ce nuage était tellement imposant qu’il a recouvert la moitié de la France d’un épais nuage rosé et sulfureux pendant un mois, localisé à l’ouest d’une ligne allant de Bayeux à Béziers.
Le volcan fit également des victimes en France. La mortalité augmenta au dessus de la moyenne à partir de juillet 1783, certainement dues à l’empoisonnement dû aux nuages sulfureux. Les régions les plus touchées se situaient sur tout le flanc Est de la France. Cette éruption très importante a duré huit mois.
Quel impact sur le climat ?
Le rôle des éruptions volcaniques sur les fluctuations du climat est bien connu (1) : les éruptions majeures ont propulsé dans la haute atmosphère de telles quantités de cendres et de suies, capables d’occulter de 1% à 3% le rayonnement solaire, que des refroidissements s’en sont suivis au niveau planétaire ! ce fur le cas lors des éruptions du Mont St Helens en mai 1980 (USA), du El Chichon en 1982 (Mexique), ou encore du Pinatubo (Philippines) en 1991.
Ces différentes éruptions avaient entrainé des années froides avec des hivers particulièrement rigoureux. Dans le cas extrême, l’éruption colossale du Tambora (en 1815) a projeté un volume de poussières et de cendres pendant 2 à 3 jours jusqu’à 600 km de distance du volcan et à plus de 30 km de hauteur dans la Stratosphère, où ils ont alors été transportés par les jets streams de la haute atmosphère. Pendant plusieur jours le ciel s’est obscurcit. En quelques mois les poussières et aérosols se répandirent dans l’atmosphère autour de la planète, provoquant des modifications climatiques pendant plusieurs années. Durant ces périodes, sont signalés des couchers de soleil prolongés et brillamment colorés - oranges ou rouges sur l’horizon.
Le refroidissement climatique fut tel que l’été suivant fut extrêmement froid avec des gelées jusqu’en Europe et en Amérique du Nord en plein été : cette année fut baptisée "l’année sans été".
(1) In "Geophysical Research Letters " (étude menée au Massachusetts Institute of Technology sous la Direction de David Ridley, expert climatologue).
Alors que le réchauffement climatique marque une pause depuis les années 2000, dont les causes ne sont pas encore élucidées, certains climatologues envisagent même l’amorce d’une baisse entre 2015 et 2020. La planète risquerait-elle de renouer avec les rigueurs climatiques du 18ème siècle ?
Non, le réchauffement climatique n’est pas aussi évident que cela pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire, voire même comme certains climatologues (1) l’envisagent de l’amorce d’une baisse à l’horizon 2020 - 2030. Il en va de la climatologie comme de la "pause fiscale" ou de "l’inversion de la courbe du chômage" : on peut interpréter les chiffres de différentes manières et en tirer diverses conclusions.
Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre (les GES). C’est un raisonnement qui peut s’entendre mais qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le GIEC se base principalement sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de gaz carbonique dans l’atmosphère depuis le début du XXème siècle et la hausse simultanée des températures planétaires pour se persuader du lien de cause à effet.
Plus généralement il est admis dans la communauté scientifique que le réchauffement climatique "a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique", tout en reconnaissant que ce réchauffement ait pu avoir aussi une origine cyclique naturelle.
Le réchauffement climatique est en pause depuis 1998
Comment expliquer que le réchauffement climatique global est en "pause" depuis 1998 alors que les émissions de gaz à effet de serre poursuivent leur inexorable augmentation ? En effet, selon les dernières données du RSS satellite data il n’y avait plus, en ce mois de septembre 2014, de réchauffement climatique global depuis exactement 17 ans et 9 mois.
Si les années les plus chaudes depuis le XX ème siècle sont observées durant la décennie 2000 - 2010, cela s’explique par la phase de plateau haut avec des températures planétaires qui restent à peu près au même niveau. Cela reste certes un niveau très élevé, mais un niveau qui n’augmente plus.
La grande question qui se pose aux scientifiques est de savoir ce qui a pu entraîner cette pause non prévue par les modèles climatiques qui servent de base aux rapports du GIEC. La deuxième question est de savoir ce qui va ensuite se produire : la hausse des températures mondiales va t’elle reprendre ou au contraire la courbe va t’elle entamer une lente baisse ? Cette deuxième hypothèse est désormais abordée comme une possibilité. Elle pose la question du rôle précis du taux de CO2 émis dans l’atmosphère car les émissions de gaz à effet de serre sont considérées comme responsables du réchauffement climatique contemporain, en particulier le CO² dont le taux de concentration dans l’atmosphère atteint des valeurs records. Le GIEC avait déclaré à ce sujet que le CO² était "le thermostat de la planète". Alors que ces niveaux de CO² poursuivent leur hausse, comment expliquer la stagnation actuelle des températures ?
Refroidissement global en perspective ?
Pour expliquer cette pause dans le réchauffement climatique, de nombreuses hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un infime pourcentage du rayonnement solaire ou encore la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. "N’oublions pas la variabilité naturelle du climat qui a toujours fonctionné par cycles bien avant notre ère contemporaine", rappelle Régis Crépet, météorologue à METEO CONSULT. "D’autres paramètres comme l’assombrissement global (augmentation des aérosols dans la haute atmosphère liée à la pollution atmosphérique) peuvent aussi tirer les températures vers le bas, à l’image du volcanisme", précise le météorologue.
Ces paramètres auraient donc pour conséquence d’amoindrir "temporairement" les effets du réchauffement climatique avant la reprise de la hausse, c’est en tout cas la version officielle émise dans les conclusions du GIEC.
Cependant, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet depuis le début ? Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu sans cesse et bien avant notre époque industrielle ? Rappelons, à cet égard, qu’il faisait aussi chaud au Moyen-Age avant une baisse drastique des températures entre le 16ème et le 19ème siècle.
A ce sujet, Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.
Al Gore et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an (2)
Face à ces interrogations auxquelles on n’a pas de réponse, des climatologues vont plus loin dans leurs extrapolations. Ainsi l’élévation du niveau des océans, stigmatisée par Al Gore en 2006 ("Une vérité qui dérange"), devait atteindre 6 mètres à l’horizon 2100 or les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXème siècle, et serait proche de 13 millièmes de millimètre par an depuis 2001. En outre, cette élévation aurait été très inégale avec un maximum entre 1850 et 1900 puis ensuite entre 1930 et 1960 et enfin depuis 1990. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (scénario du GIEC) à l’horizon 2100. Le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner affirme même "qu’il n’y a pas eu de réelle augmentation depuis 50 ans", et que "s’il y a une élévation au cours de ce siècle, elle restera proche de 10 cm".
Le très sérieux Met Office britannique avait rendu public l’année dernière trois gros rapports expliquant la fameuse pause du réchauffement climatique et proposant des modélisations climatiques selon lesquelles les températures commenceraient à baisser dans la prochaine décennie 2020 : ainsi en 2030, les températures planétaires ne seraient que de +0,4°C supérieures à la moyenne de référence 1880 – 2013, contre +0,65°C en 2013. Selon la NOAA-GISS, cette hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100. Des scientifiques américains, dont le très connu Anthony Watts, anticipent même la poursuite de cette baisse qui pourrait atteindre son niveau le plus froid en 2100, à peu près au même niveau qu’à la fin du 19ème siècle. Rien de catastrophique mais un retour aux hivers rudes et à l’avancée des glaciers. Avant d’en arriver là, nos climats tempérés retrouveraient des hivers similaires à ceux des années 1960 entre 2020 et 2030.
2015 ou 2016 : années charnières ?
Dans cette perspective, l’année 2016 pourrait jouer le rôle de charnière après 17 ans de stabilité et avant l’amorce possible d’une baisse des températures planétaires dans la décennie 2020 – 2030 (Met Office). A l’heure actuelle, on constate la reprise de l’extension des glaces de l’Arctique (plus de 1,6 millions de km² regagnés depuis 2012, année du minimum historique avec 2007) (3) tandis que la surface des banquises de l’Antarctique n’a jamais été aussi immense depuis le début des mesures des satellites en 1979, avec une extension record de plus de 20 millions de km². Là aussi des scientifiques (4) attribuent cette nouvelle extension au réchauffement climatique en raison des vents plus violents qui auraient tendance à accumuler davantage de glace flottante autour du continent Antarctique. Constatons tout de même que l’Antarctique a aussi battu ses records de froid pendant l’hiver austral qui vient de s’écouler.
Si cette amorce de refroidissement se confirmait, qui aura le courage de le dire en fin d’année 2015 alors que se tiendra à Paris la conférence mondiale sur le climat, une conférence qui souhaite parler surtout de réchauffement ?
Notes et références :
(1) Au sujet de l’activité solaire, responsable d’un refroidissement climatique : Journal of Geophysical Research ; voir aussi Advances in Space Research.
(2) S. Jevrejeva ((Permanent Service for Mean Sea Level) et Church J.A., N.J. White (2006), (A 20th century acceleration in global sea-level rise).
(3) NSIDC, National Snow and Ice Data Center.
(4) Jan Lieser et Tony Worby du Centre de recherche coopératif sur le climat et les écosystèmes de l’Antarctique (CRC).
L’activité du Soleil diminue. La quantité d’émissions de plasma a fortement baissé par rapport aux 100 dernières années. Les scientifiques supposent donc qu’il s’agit du début d’une nouvelle période de sommeil pour le Soleil. Et alors que notre astre va somnoler, notre Terre va connaître une époque de froids anormaux. C’est déjà arrivé plusieurs fois. Mais s’il n’est possible de juger des changements climatiques qui se sont produits il y a des dizaines et des centaines de milliers d’années uniquement par des études géologiques, il reste de la dernière petite période glaciaire, que l’on appelle le minimum de Maunder, entre 1645 et 1715, des dessins et des écrits. Les peintures du Hollandais Abraham Hondius montrent bien que la Tamise était gelée jusqu’au fond. Il en était de même pour la Volga et la mer Baltique. Les chroniques mentionnent une peste et une famine horribles en Russie parce que toutes les semences ont péri à cause de grande gelée. L’activité du Soleil tend rapidement vers le niveau de ces années-là, ce pour quoi les experts parlent d’un retour de catastrophes. Il est toutefois encore trop tôt pour déterminer à quel point notre astre va s’endormir. Pendant des années d’observations, l’activité solaire a montré des cycles différents en intensité et en durée. Le professeur Arkadi Tichkov, directeur adjoint de l’Institut de géographie de l’Académie russe des sciences, souligne qu’il faut maintenant savoir de quel cycle il s’agit.
« Que ce soit dans l’espace ou sur Terre, tous les changements ont un caractère cyclique. L’activité solaire a des cycles de dix-douze ans, de trente ans, de cent ans, et même parfois de milliers ou de centaines de milliers d’années. La nature, qui a une certaine inertie, réagit à ces changements, et nous sommes touchés à chaque fois par le changement de circulation de l’atmosphère, qui influe indirectement sur la température, les précipitations et le déplacement des masses d’air d’une partie de la planète à une autre. »
De leur côté, les partisans de la théorie du réchauffement climatique insistent sur le fait que le Soleil influe nettement moins sur le climat de notre planète que l’activité humaine. Alexeï Kokorine, directeur du programme climatique de WWF, souligne qu’à cause de la grande quantité d’émission de gaz carboniques et autres gaz à effet de serre, la température moyenne augmente, les glaciers fondent, les îles sont submergées.
« Si le seul facteur qui avait une influence sur le climat terrestre était le Soleil, alors, oui, nous nous dirigerions vers un refroidissement. Mais toutes ces fluctuations solaires s’annulent les unes les autres en quelque sorte : deux-trois décennies de froid, deux-trois décennies de chaleur. Mais l’influence humaine à travers l’augmentation de l’effet de serre est constante. Donc, si nous parlons du XXIe siècle dans son ensemble, nous observerons forcément un réchauffement avec un fort déséquilibre du système climatique et une augmentation du nombre de phénomènes dangereux. »
Cependant, que se passe-t-il à l’heure actuelle ? Pour la première fois en cent ans, les chutes du Niagara ont gelé. Les thermomètres thaïlandais sont descendus jusqu’à 3°, ce qui n’était pas arrivé depuis trente ans. La Iakoutie a connu une température de -52°. Certes, c’est une région de permagel, mais un tel froid qui dure autant, c’est beaucoup. Et bien que les chercheurs de l’Institut de géographie ne prévoient pas de refroidissement global de la planète, ils recommandent de prendre des dispositions pour faire face à des baisses de températures hivernales.
Alors que le GIEC (un groupe d’experts autoproclamés sur le changement de climat) nous assène que le réchauffement est lié à l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère, Zharkova avance que celui-ci est lié à l’activité solaire. Cette dernière obéit à un cycle d’une durée comprise entre dix et douze ans mais chaque cycle est différent du précédent et aucun modèle mathématique n’a pu jusqu’alors expliquer ces fluctuations.
Des astrophysiciens ont avancé que la cause de ces cycles provenait d’une dynamo provoquée par la convection de fluides au centre du soleil. À présent, Zharkova et son équipe ont découvert un autre champ magnétique à la surface du soleil qui complète la vision de ces physiciens. Leur modèle s’appuie sur les observations relevées à l’observatoire Willcox en Californie. À l’aune de ces données, ils ont examiné trois cycles solaires pour la période 1976-2008. Ils ont comparé ces données avec le nombre de tâches noires observées à la surface du soleil. Il existe une corrélation étroite entre ces tâches noires et l’activité magnétique. Zharkova avance une erreur de 3% sur l’interprétation de ses résultats. La résonance des champs magnétiques au centre et à la périphérie du soleil que nous connaissons à l’heure actuelle va donc se découpler progressivement. Il va en résulter une réduction très significative de l’activité solaire, de l’ordre de 60% d’ici 2030, car les deux champs magnétiques vont se neutraliser au cours du vingt-sixième cycle en question.
Les conséquences de cette étude iconoclaste
La conséquence climatique serait un minimum de Mauder qui signifie pour les profanes un retour à un mini âge glaciaire observé en Europe entre 1645 et 1715. Annie (1868-1947) et Walter Mauder (1851-1928), un couple d’astrophysiciens, avaient étudié les changements de tâches à la surface du soleil au cours du temps. Des tableaux comme celui d’Abraham Hondius avec la Tamise gelée lors de l’hiver 1677 donnent une idée de ce qui nous attend. C’est une très bonne nouvelle pour la vieille Europe.
Sur un plan politique, cette étude qui va à l’encontre du dogme en vigueur est évidemment passée sous silence par nos médias. Un seul a relayé l’information : le site marketwatch.com. L’étude de Zharkova a été publiée par la Royal Astronomical Academy, une chose impensable dans notre pays. La France autiste accueillera comme prévu la conférence sur le changement climatique en décembre prochain. Gageons que ce sera la dernière quand le dogme sera confondu par la réalité. Sale temps pour les « réchauffistes » de tout poil qui nous culpabilisent et nous pourrissent la vie avec leurs réglementations tatillonnes !
A quand la prochaine glaciation ?
Rétroaction du volcanisme, du climat et de la vie
Histoire des climats de la planète Terre
Le changement climatique est-il lent et progressif ou brutal ?
Heureusement le CNRS, coauteur, le publie encore
Un autre article sur le changement brutal de climat
Encore sur le changement brutal de climat
Toujours sur le basculement brutal du climat
Changements du climat qualitatifs et brutaux
Le basculement rapide du climat
Messages
1. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 12 janvier 2016, 07:16
Les températures hivernales sont particulièrement douces en France depuis le début de l’hiver, pouvait-on lire dans la presse.
Mais on pouvait aussi y lire :
« Les températures ont atteint en France un pic de froid depuis ces derniers jours, jamais égalé depuis 40 ans, en octobre 2015… »
Les aléas de la météo ne sont pas les transformations à grande échelle du climat...
2. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 27 août 2016, 06:29
Prévisions pour l’hiver 2016-2017 : plus froid partout !!!!
C’est ce que l’on appelle du « réchauffement global » !!!!
3. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 8 novembre 2016, 09:37
La température baisse et elle il ne va pas remonter de sitôt : la France va connaître toute cette semaine un épisode de froid avec des températures 4 à 8 degrés en-dessous des normales, dignes d’un mois de janvier. Conséquence : l’arrivée de la neige à basse altitude.
Mais aucune conséquence sur l’idéologie du réchauffement anthropique !!!
4. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 8 janvier 2017, 09:08, par R.P.
Quand l’hiver démarre tout doux en décembre, on a droit aux commentaires sur le réchauffement climatique mais aucun commentaire dès qu’il y a des pointes de froid parce des boules de froid tombent du pôle !!!
5. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 13 janvier 2017, 07:44
Tempête hivernale : 237 000 foyers privés d’électricité en France ! Quel effet remarquable du réchauffement climatique ! Plus dialecticiens que les réchauffistes anthropophages ! Pas tout à fait dialecticiens d’ailleurs : plutôt pour les extrêmes diamétraux !!!! Chauffe IPCC, alias GIEC, chauffe !!!
6. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 janvier 2017, 09:21
des milliers de familles n’ont plus l’électricité, parfois depuis plusieurs jours et se cramponnent les uns aux autres pour se réchauffer ! EDF annonce en plus… qu’elle risque de pratiquer des coupures d’électricités périodiques car la consommation dépasse la production !!!
7. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 17 janvier 2017, 13:07
Quand les climatologues justifient les froids hivernaux ou plutôt justifient leurs thèses du réchauffement en affirmant que les épisodes de froid sont ponctuels. Manque de chance, il ne raisonnent pas pareil sur les épisodes de chaud… ponctuels !!!
Lire ici
8. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 27 février 2017, 21:15, par Lena
Si l’être humain de par son hyperactivité notoire de sur-industrialisation des zones protégées et naturelles créatrices d’oxygène et de végétation l’entretenant, par son assimilation du CO2, maintient un effet de serre similaire par son auto-production de CO2 (à défaut de la recréer), à l’effet de serre d’une forêt Quaternaire (à défaut autant de la respecter), peuplée de dinosauriens créateurs eux-mêmes de CO2, la voûte atmosphérique terrestre risque, à défaut de voir la Terre s’envahir de séquoias-paratonnerres des foudres générées de cette forêt équatoriale planétaire habitée de sources supplémentaires en CO2, de générer elle-même les orages typiques du Quaternaire, orages mégatonniques (que l’on retrouve dans les phénomènes impressionnants à telluriques de dérèglements climatiques Américains) aux foudres ayant incendié en surcroît des explosions volcaniques et leurs émanations, les forêt quaternaires résiduelles aux chocs de météorites, ou au choc d’une météorite assez conséquente pour déterminer la fin de l’Ère Dinosaurienne.
je penserais à un retour cycle de cette épisode là, Quaternaire, en une réunion sur un siècle des années, millénaires de vie ante-hominidés, et post-hominidé, reconnue par des films ordinaires à grand spectacle, une sorte de conjonction des ères et remontée dans le temps.
L’interaction entre les cycles terriens et solaires, l’autorégulation interne des horloges processus de rééquilibrage terrestres, une conjonction de ces phénomènes avec les oscillations terrestres, de l’axe terrestre et des ses pôles, leur prochaine et amorcée inversion, les variations du cursus de l’orbite terrestre, les alignements planétaires, conjonctions stellaires, solaires, jet de magma solaires, planétaires, pluies de comètes, rayons menaçants de Quasars supernovas, les passages impromptus de météorites frôlant l’atmosphère terrestre ou s’y détruisant, induisent des variations importantes à combinaisons infinies, à déterminer par ordinateur peut-être, et causes d’improbabilités par élimination voire.
1. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 28 février 2017, 07:49, par Robert Paris
Il me semble que, dans ce domaine de la "surindustrialisation", vous surestimez notre capacité à faire la météo et le climat. Les véritables méfaits de l’homme me semblent bien plus relever de la pollution chimique, des faux médicaments, des industries destructrices de la nature et de l’homme et, à la racine, de la course au profit capitaliste qui, même si elle ne détruit pas la stabilité climatique (qui n’a jamais existé) détruit la vie et la société humaine.
9. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 11:50
Une tempête de neige historique est annoncée sur le nord-est des Etats-Unis...
Une violente tempête de neige a commencé à s’abattre, mardi 14 mars, sur le nord-est des Etats-Unis. Après un hiver inhabituellement clément, l’événement météorologique baptisé « Stella » par le service de la météo nationale devrait se traduire par des rafales pouvant atteindre 96 km/h, augmentant le ressenti de froid et le manque de visibilité. La neige pourrait atteindre 61 cm à New York. Le service de la météo a émis une alerte au blizzard – vent glacial du nord accompagné de tempêtes de neige – pour vingt-quatre heures, à partir de lundi minuit (9 heures du matin à Paris mardi).
Les régions les plus touchées sont celles de New York, du New Jersey, de Philadelphie et du sud du Connecticut, où vivent quelque 19 millions de personnes. Mais des chutes de neige étaient attendues de la Caroline du Nord à l’Etat septentrional du Maine, en passant par Washington.
10. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 11:51
Plus de 6 800 vols ont déjà été annulés, dont quelque 2 300 à destination ou au départ des seuls aéroports de New York – JFK, La Guardia et Newark –, selon le service FlightAware qui recense les retards et les annulations. Les aéroports de Washington, Philadelphie, Boston et, dans une moindre mesure, Chicago, où la neige est déjà tombée lundi, étaient aussi touchés.
La ville de New York, poumon économique des Etats-Unis, et ses 8,5 millions d’habitants s’annonce quasi paralysée. Le siège de l’Organisation des Nations unies sera fermé, alors que des milliers de délégués devaient assister à une conférence sur les femmes. Le maire, Bill de Blasio, a annoncé la fermeture de toutes les écoles et le déploiement de 1 600 chasse-neige et 689 engins de salage.
Les sections à découvert du métro seront à l’arrêt, ainsi que certaines liaisons de bus et des trains de banlieue. La Bourse de Wall Street devait rester ouverte, mais les traders étaient invités à travailler de chez eux. Le Metropolitan Museum of Art, l’une des principales attractions touristiques de la ville, a annoncé que ses trois sites resteraient fermés mardi. Une alerte aux inondations a également été diffusée le long des côtes, des pannes de courant ne sont pas exclues.
Le gouverneur de l’Etat de New York, Andrew Cuomo, a déclaré préventivement l’état d’urgence à compter de minuit, enjoignant aux fonctionnaires des services non indispensables de rester chez eux.
11. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 11:53
L’hiver n’a pas dit son dernier mot au Québec : une vague de froid polaire balaie la province cette fin de semaine. Des avertissements de froid extrême ont été émis par Environnement Canada dans plusieurs régions, dont Charlevoix et le Saguenay-Lac-Saint-Jean, alors que Montréal frôle un record de froid aujourd’hui.
Le mercure s’élevait à -18°C ce midi dans la métropole. Or, le refroidissement éolien de -30 rendait pénible tout déplacement à l’extérieur. Il fera à peine plus chaud cet après-midi avec -15°C et un refroidissement éolien de -26.
Le record de la température la plus basse un 11 mars est toutefois de -22,7°C et remonte à 1984. Ce matin, le mercure affichait -20,7°C à 6h.
12. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 11:58
Le record de froid pour un 11 mars à Québec est tombé peu après 6 h samedi matin alors que le mercure a atteint -24,4 °C à la station de l’Aéroport Jean-Lesage. L’ancienne marque, établie en 1972, était quant à elle de -23,9 °C précise Denis Thibodeau d’Environnement Canada.
13. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 12:01
Les habitants de la capitale islandaise se sont réveillés, dimanche 26 février, sous 51 cm de neige. Les fortes chutes de neige dans plusieurs zones de Reykjavík ont approché le record du 18 janvier 1937, qui était de 55 cm, écrit le site Iceland Review (en anglais). C’est tout de même un record pour le mois de février.Au matin, les habitants ont trouvé leurs voitures englouties sous une épaisse couche de neige. De nombreuses églises ont dû annuler les offices. Les bus de la capitale sont restés à l’arrêt dimanche matin et des routes sont restées coupées.
14. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 mars 2017, 12:04
Un phénomène climatique exceptionnel caractérisé par un hiver extrêmement rigoureux a décimé cette année dans les steppes mongoles plus de 40.000 animaux d’élevage et menace des dizaines de milliers de nomades, amenant la Croix-Rouge à lancer jeudi un appel international.
La Mongolie est de nouveau frappée cette année par un "dzud", phénomène climatique caractérisé par une vague de froid extrême en hiver, a expliqué la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge (IFRC).
La raréfaction des pâturages pendant l’été empêche les chèvres, moutons et vaches de se nourrir suffisamment pour supporter ensuite les rigueurs hivernales, lorsque les températures tombent sous 50 degrés Celsius.
Un givre et un enneigement excessif viennent encore compliquer l’accès des animaux aux couches de verdure. Résultat : des carcasses gelées de chèvres et de vaches s’amoncellent dans la steppe.
Quelque 42.500 animaux ont déjà péri de faim et de froid, selon des chiffres des autorités mongoles actualisés début février.
Certes, un dzud avait déjà frappé le pays lors de l’hiver 2015-2016, tuant au moins 350.000 bêtes. Mais "le chiffre d’animaux morts cette année devrait s’envoler de façon exponentielle dans les mois qui viennent", a prévenu la Croix-Rouge.
En effet, "au printemps, lorsque les animaux donnent naissance, mais sont exténués par l’hiver, les risques sont très élevés qu’ils ne puissent trouver une nourriture suffisante, ni même les abris et les soins vétérinaires dont ils auraient besoin, et qui font défaut", a expliqué Nordov Bolormaa, secrétaire général de l’IFRC à Oulan-Bator.
Un désastre de grande ampleur dans ce pays peu densément peuplé où un habitant sur trois se nourrit des bêtes qu’il élève.
15. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 29 novembre 2017, 06:53
Etienne Kapikian, ingénieur prévisionniste à Météo France essaie de se justifier de sa thèse du réchauffement avec les froids hivernaux qui arrivent :
Les précipitations attendues vont apporter de la neige, même en plaine, dans l’est de la France, mais aussi à Paris ou en Normandie. En revanche, plus on s’approche de la côte Atlantique, notamment à Nantes ou Bordeaux, moins il y a de risques de neige car les températures seront plus douces.
La neige va-t-elle tenir ?
Dans les massifs, la neige devrait tenir de manière durable. En plaine, c’est plus délicat à prévoir. Néanmoins, plus on va vers l’est, plus la neige risque de tenir au sol, notamment dans des villes comme Nancy et Besançon.
Cette situation est-elle normale pour la saison ?
Ce n’est pas anormal d’avoir un épisode de froid à cette saison. Le 1er décembre, c’est le début de l’hiver météorologique. Par le passé, nous avons d’ailleurs connu des épisodes bien plus froids. C’était le cas en 2010, avec des neiges à la fin du mois de novembre et des gelées sévères. L’épisode avait d’ailleurs duré jusqu’à Noël. L’hiver 1963 fut le plus long, car il s’était installé précocement. Et si l’on remonte encore plus loin, on a eu un record à Paris le 28 novembre 1890 avec une température de -14°C.
Cette arrivée brutale du froid est-elle l’une des manifestations du changement climatique ?
Non, nous sommes dans un climat où l’on peut avoir des retournements de situations importantes d’une semaine à l’autre sous les influences des différentes masses d’air. Depuis toujours on a eu un climat changeant dans le temps et l’espace.
Le froid est-il parti pour s’installer dans les prochaines semaines ?
Dans nos projections sur les dix prochains jours, on ne devrait pas avoir de redoux significatif. La première décade de décembre devrait donc être froide, mais on peut très bien avoir une fin décembre plus douce. D’ailleurs, les prévisions saisonnières, même si elles sont à prendre avec des pincettes, prévoyaient un trimestre novembre-décembre-janvier dans l’ensemble doux.
16. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 19 janvier 2018, 06:04
Des hivers rigoureux
La vague de froid actuelle vient tout droit du grand Nord. Il s’agit d’une "coulée d’air polaire qui arrive de Norvège, favorisée par l’apparition d’un anticyclone sur tout l’Atlantique Nord, jusqu’au Groenland", élude d’emblée François Jobard, prévisionniste à Météo France. Celle-ci s’abat depuis le début du week-end sur toute la France, notamment les départements du Sud-Est et du Sud-Ouest, dont deux (les Bouches-du-Rhône et le Var) étaient encore en vigilance orange en milieu d’après-midi. On note également une vague de froid et chutes de neige exceptionnelles du 3 au 17 janvier 1985 sur toute la France. Dans un flux de nord à nord-est, une masse d’air glaciale provenant de l’Arctique déferle sur la France. Cette vague de froid est d’intensité comparable à février 1956 mais de plus courte durée. Les températures minimales s’abaissent jusqu’à -20 à -28 °C sur l’ensemble du pays. A Paris, c’est le mois de janvier le plus froid depuis 1838. Des chutes de neige généralisées et parfois exceptionnelles donnent par exemple 38 cm à Nice. Au cours de cet épisode, on recense 150 morts.
17. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 3 février 2018, 06:34, par toto
La météo s’annonce hivernale samedi et dimanche avec un cocktail à base de vent fort, de ciel très nuageux sur les trois quarts du pays, de pluies intermittentes ou d’averses un peu partout et de grandes marées. Il devrait notamment neiger par endroits dans le Nord et l’Est. Et sur le littoral, l’association entre le vent et les grandes marées pourrait provoquer quelques submersions. D’ailleurs, selon La Chaîne Météo, "la moyenne des températures de février pourrait être inférieure aux normales saisonnières en France, indicateur d’une possible vague de froid". Bref, c’est l’hiver et il fait froid.
Le réchauffement mondial reste programmé… dans la tête des responsables du « réchauffement anthropique » dû à l’effet de serre !!! Encore des faux scientifiques qui surchauffent parce qu’on les a laissés sous verre !!!
18. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 7 février 2018, 07:46
De la neige et du grand froid exceptionnels sur presque la moitié de la France...
À Moscou, une tempête de neige record...
A cause du froid, le nombre d’appels d’urgence explose à Tokyo...
Au fait, la théorie du réchauffement prédisait qu’il n’y aurait plus de neige l’hiver !!!
19. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 7 février 2018, 10:36
A la moindre difficulté climatique, ce qui ressort c’est l’incapacité des dirigeants de la société capitaliste, incapable de se mobiliser pour la population, incapable de prévenir, incapable d’intervenir à temps, incapable d’assumer une situation exceptionnelle, incapable même de mettre en œuvre des moyens d’exception, incapable de se soucier des difficultés que subissent les gens. Aucune audace, aucun courage, même pas capables d’avertir les gens à l’avance, et surtout de les autoriser à ne pas venir travailler, alors que l’épisode neigeux important était prévu d’avance cette fois…
20. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 8 février 2018, 07:18
"Il n’a pas autant neigé depuis 2013", a constaté ce mercredi matin Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, sur RTL pour parer à toutes les critiques concernant la gestion des intempéries par le gouvernement. "Il est difficile de savoir le matin à 8h si les routes seront bloquées à 14h (...) Il faut arrêter de faire croire n’importe quoi aux Français. (...) Il est difficile d’anticiper le nombre de centimètres de neige qu’il va tomber", a-t-il justifié ce mercredi sur RTL. Le membre du gouvernement assure aussi que les autorités ont réagi comme il le faut.
Fadaises ! Billevesées ! Mensonges !
Les services de la voirie ont subi la purge d’effectifs que connaissent tous les services sociaux, et l’austérité en termes de moyens. Pendant que l’Etat donne ses milliards aux trusts et aux banques, il n’a pas des centimes pour ses services publics. Résultat, les personnels s’échinent sans succès. Impossible de réparer les routes, impossible de saler, impossible de déneiger, impossible de sortir des ennuis des personnes bloquées. Même la météo est un service public qui a subi une saignée en effectifs, ce qui ne permet pas la même efficacité...
21. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 février 2018, 08:10
Si la chute de neige a provoqué une telle catastrophe sur les routes, c’est parce que le service d’entretien des routes, la DDE, a été démolie et « remplacée » par des services départementaux, comme on prévoit de démolir l’hôpital public, La Poste ou l’Enseignement. Le résultat est clair !
22. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 21 février 2018, 19:10
Météo France écrit :
« La "masse d’air froid" venue du nord de l’Europe va amener des températures négatives pendant au moins une dizaine de jours. Selon Météo France, la vague de froid semble devoir durer jusqu’au début du mois de mars.
Mais cet épisode de froid sera exceptionnel par sa durée plus que par son intensité. C’est surtout le vent (le refroidissement éolien) qui va accentuer la sensation de froid glacial avec un ressenti proche de -10°C (voire davantage lors du pic de froid en début de semaine prochaine puisque sous abri nous devrions avoir -6° à -7°). Les températures auront parfois du mal à repasser au-dessus de zéro, même en journée. Dans les prochains jours, les températures oscilleront entre -3°C et 6°C. Le froid va s’accentuer à partir du début de semaine prochaine. »
Conclusion de Météo France :
« Depuis 1850, on constate une tendance claire au réchauffement, et même une accélération de celui-ci. Au XXe siècle, la température moyenne du globe a augmenté d’environ 0,6 °C et celle de la France métropolitaine de plus de 1 °C. »
Si vous ne sentez pas la contradiction, c’est que vous n’avez pas encore assez... froid ni assez... chaud !!!
23. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 21 février 2018, 19:12
Jusqu’à moins 20° dans le bord de la France, ça c’est du réchauffement anthropique ?!!!
24. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 23 février 2018, 08:02
Quoi ! Vous ne les sentez pas les risques du... réchauffement ?!!!
25. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 28 février 2018, 05:23
Les épisodes de froid ne remettent pas en cause le réchauffement global, disent ses partisans, alors que les mêmes affirment à chaque épisode de chaleur que c’est une manifestation du réchauffement global. Ils pourraient d’ailleurs dire exactement l’inverse sans que cela change le type bidon du raisonnement.
On peut lire ainsi : « Ce nouveau refroidissement ne remet pas en cause, selon les experts, le réchauffement climatique. »
Source : Le Figaro
26. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 28 février 2018, 05:25
En Europe, trente morts de la vague de froid mais aussi, il faut le dire, de la misère et de l’absence totale de solidarité dans la société bourgeoise en pleine décrépitude…
27. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 15 mars 2018, 08:05
Le froid polaire descend à nouveau sur l’Europe ce week-end…
Les réchauffistes (adeptes fervents de la religion du réchauffement anthropique) affirment que ces froids signifient que le pôle se réchauffe et que la planète aussi !
Mais ils oublient de dire que, quand il fait chaud en Europe, cela signifie que cela se réchauffe au pôle !!!
28. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 18 mars 2018, 07:32
Plusieurs secteurs de la moitié nord de la France, notamment en Ile-de-France, ont été surpris par des averses de neige aussi tardives qu’imprévues, samedi 17 mars.
Réchauffement qu’ils disaient…
29. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 18 mars 2018, 07:34
Encore une belle démonstration de l’effet des anticyclones mobiles polaires (AMP) découverts par Marcel Leroux et dont certains climatologues niaient l’existence...
30. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 23 mars 2018, 06:10
De plus belle… le réchauffement planétaire !!!
Depuis plusieurs jours, la tempête de neige parcourt le nord-est des Etats-Unis et va ensuite remonter vers le Québec… C’est la quatrième tempête de neige en un mois sur les USA et le Canada !
30 cm dans l’Etat de New York, 40 cm au Maryland et 50 cm en Pennsylvanie !
31. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 2 mai 2018, 18:14
Il a neigé un trente avril en Normandie !!!
En même temps des promeneurs sont morts de froids dans les montagnes des Alpes !
32. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 13 mai 2018, 09:00
Hiver toujours !!
L’Ardèche, le Cantal, la Haute-Loire et la Lozère ont été placés en vigilance orange pour « neige et verglas » ce samedi...
A la mi mai !!
Encore des climatosceptiques ces départements français !!
33. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 5 juillet 2018, 08:42, par alain
Vous ne réalisez pas qu’il fait très chaud ?
34. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 5 juillet 2018, 08:44, par Robert Paris
–
Oui, mais n’oubliez pas qu’il y a deux hémisphères ! Et il fait très froid dans l’hémisphère sud. Prenons l’exemple de l’Australie :
“Icy cold front to chill cities with coldest temperatures in decades.”
Un front de froid glaciale refroidit les villes avec des températures les plus froides depuis des décennies.
voir ici
“It’s going to get very cold soon as Antarctic blast hits Australia.”
Il va très vite faire très froid en Australie depuis que l’air de l’Antarctique frappe.
voir ici
“Australia hit with extreme cold front as snow hits and people are warned of dangerous conditions.”
L’Australie est frappée par un front de froid extrême alors que la neige frappe et les gens sont avertis des conditions dangereuses
Voir ici
1. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 8 juillet 2018, 07:02, par alain
On meurt de froid en Australie ?!!!
35. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 8 juillet 2018, 07:02, par Robert Paris
Eh oui !
Le froid tue de l’Australie à la Suède et plus même en Australie qu’en Suède…
Une étude internationale, financée par le UK Medical Research Council, a analysé l’augmentation des taux de mortalité due aux baisses de température dans 13 pays sur une période de 27 ans. Les résultats de l’étude ont été publiés en juillet 2015 dans le journal australien Medical "The Lancet". L’étude comprenait l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, l’Italie, le Japon, la Corée du Sud, l’Espagne, la Suède, Taiwan, le Royaume-Uni et les États-Unis. Le professeur Adrian Barnett, chercheur à l’Université de Technologie du Queensland, a étudié les taux de mortalité associés à des conditions météorologiques anormales ainsi que l’accès des occupants au chauffage et au refroidissement et a établi un lien avec la qualité du logement en Australie. Les études du professeur Barnett ont conclu que le taux de mortalité dû au froid en Australie, qui est de 6,5% presque le double de celui de la Suède à 3,9%, est presque entièrement dû à la mauvaise qualité de construction de nos maisons. Selon Barnett, « de nombreuses maisons australiennes ne sont que des tentes glorifiées et nous nous exposons à des températures beaucoup plus froides que les Scandinaves.
Lire ici en anglais
Lire ici en anglais : le nombre de morts de froid augmente dans le monde
Cela témoigne de l’augmentation de la pauvreté dans le monde mais aussi du fait qu’il n’y a aucun réchauffement global !!!
36. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 10 juillet 2018, 11:28
On remarquera que les infos indiquent les morts japonais des inondations, les morts de chaud du Québec et pas les morts... de froid d’Australie !!!
37. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 2 octobre 2018, 06:07
L’hiver revient en avance... La neige de retour dans le Puy-de-Dôme... De quoi réchauffer la thèse refroidie des réchauffistes de la planète...
38. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 27 octobre 2018, 03:00
Juste après la nouvelle annonce d’un coup de chaud par le GIEC, la planète annonce un coup de froid !!!
39. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 29 octobre 2018, 07:47
En attendant que le GIEC se refroidisse, ça caille !!!
40. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 30 octobre 2018, 06:21
Vigilance orange et vigilance rouge fin octobre, c’est pas mal pour un prétendu réchauffement climatique !!
41. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 7 mai 2019, 07:57
De l’Oise à la Corse, des records battus... de froid !!!
42. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 15 août 2019, 03:16
Il a gelé en France au milieu du mois d’août !!
Record battu : hier soir zéro degrés dans le Doubs !
43. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 14 novembre 2019, 07:48
Neige, alerte orange dans trois départements en France ont eu raison du... réchauffement global imaginaire !
44. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 18 novembre 2019, 05:41, par titide
Il fait froid...
Où ? Des pays scandinaves à la France ? Oui mais pas seulement !
Il fait froid par exemple en Algérie ! Les températures y ont connu ces derniers jours, et particulièrement durant le week-end, une baisse plus ou moins sensible accompagnée d’intempéries. Météo Algérie avait déjà annoncé l’arrivée de ces perturbations atmosphériques.
Des chutes de neige ont été constatées sur les reliefs dépassant les 900 mètres d’altitude. Les citoyens ont ressorti de leurs armoires tricots, bonnets et écharpes. Les parapluies font de plus en plus partie du décor urbain.
Des wilayas ont été placées en vigilance « orange », telles que Tlemcen, Aïn Témouchent, Oran, Mostaganem et Chlef, où les quantités de pluies enregistrées ont été estimées entre 20 et 30 mm.
45. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 21 février 2021, 04:33, par climatoréaliste
Le Texas est au bord de la crise humanitaire après une vague de froid historique.
46. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 21 février 2021, 04:36, par climatoréaliste
La vague de froid au Texas dans un Etat ultra libéral signifie pas d’eau, pas d’électricité, pas de nourriture !!!
47. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 21 février 2021, 04:38, par climatoréaliste
La tempête d’air polaire ne tempère même pas les affirmation péremptoires des réchauffistes !!!
48. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 23 août 2022, 07:16, par alain
Même si un froid extrême est prévu en Europe à l’avenir, ils tiennent à prétendre que c’est à cause… du réchauffement !
https://trustmyscience.com/froid-extreme-pourrait-s-abattre-sur-europe/
49. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 17 septembre 2022, 07:53, par climat
Un épisode de froid polaire en Europe
https://www.ladepeche.fr/2022/03/31/coup-de-froid-on-vous-explique-le-phenomene-de-lair-polaire-10206710.php
https://actu.orange.fr/france/meteo-un-froid-polaire-attendu-en-france-magic-CNT000001Sr8cy.html
dans la religion dominante du réchauffement global anthropique, c’est le réchauffement qui est accusé du refroidissement !!!
https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210903-le-r%C3%A9chauffement-climatique-responsable-des-vagues-de-froid-polaire-aux-%C3%A9tats-unis
en fait cela n’a rien d’exceptionnel
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-air-polaire-france-mais-ce-nest-pas-vague-froid-95212/
50. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 7 avril 2023, 06:33, par alain
Les épisodes printaniers de grand froid n’ont pas calmé les partisans du réchauffement global !
https://www.lemonde.fr/international/article/2023/04/06/montreal-devastee-par-une-tempete-de-glace-qui-a-prive-d-electricite-une-partie-du-canada_6168557_3210.html
https://www.planet.fr/meteo-meteo-les-42-departements-ou-le-froid-fait-son-grand-retour-ce-5-avril.2755225.1550.html
https://news.google.com/articles/CBMicWh0dHBzOi8vd3d3LnR1cmJvLmZyL2FjdHVhbGl0ZS1hdXRvbW9iaWxlL2h5dW5kYWktaW9uaXEtNS1uLWVuLXRlc3QtZGFucy1sZS1ncmFuZC1mcm9pZC1zdWVkb2lzLXNvdXMtMzBkZWctMTg5OTcy0gF1aHR0cHM6Ly93d3cudHVyYm8uZnIvYWN0dWFsaXRlLWF1dG9tb2JpbGUvaHl1bmRhaS1pb25pcS01LW4tZW4tdGVzdC1kYW5zLWxlLWdyYW5kLWZyb2lkLXN1ZWRvaXMtc291cy0zMGRlZy0xODk5NzI_YW1w?hl=fr&gl=FR&ceid=FR%3Afr
https://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2023-04-06/periodes-de-froid-au-printemps-jusqu-a-quand-peut-il-geler-66490
https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/armee-americaine-en-alaska-s-entrainer-dans-un-blizzard-glacial_5720891.html
51. Grands froids en perspective…. La nouvelle ère glaciaire approche ? Ou bien est-ce un réchauffement catastrophique ?!!!, 27 juillet 2023, 10:58, par nadia
la télévision s est fait l écho d un record de température négative en Antarctique a -84 degré sous le ’0’.
Pour ces médias aucun doute il y a un changement de climat ...mais ils ne disaient pourquoi et dans quel sens .
Par contre les grosses chaleurs et les incendies sont liés d après les mêmes médias a un réchauffement anthropique.
Donc quand il fait très froid c est le dérèglement du climat tout seul comme un grand et on ne veut rien dire sur son mécanisme et quand il fait très chaud, c est le même climat qui est déréglé par l activité humaine en majorité..
A part ca ces non explications sont presque crédibles !