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Comment l’épidémie du sida a démarré ?

vendredi 3 décembre 2010, par Robert Paris

26 millions de morts, 40 millions de personnes contaminées. L’épidémie la plus dévastatrice de l’histoire ravage notre planète depuis plus de 20 ans et pourtant son origine reste encore un mystère. Cependant la communauté scientifique est unanime : le virus du sida est né en Afrique et son ancêtre direct est présent chez les chimpanzés. Reste une énigme : comment le virus est-il passé de l’animal à l’homme ? De nombreuses théories ont été avancées et réfutées... Aujourd’hui, seules deux hypothèses subsistent. La première suggère qu’en 1931, selon les calculs de la généticienne américaine Bette Korber, le virus du chimpanzé aurait contaminé un être humain qui consommait l’animal. Mais alors que les Africains mangent du singe depuis la nuit des temps, pourquoi cette transmission soudaine ? La seconde suggère que le virus du sida serait le produit accidentel d’un vaccin oral contre la polio administré à un million d’Africains dans l’ex-Congo belge de 1957 à 1960 aux endroits mêmes où, une décennie plus tard, on détecte les premiers cas de sida dans le monde. Face à cette dernière théorie qui dérange, le petit univers de la grande Science est partagé entre l’examen de conscience et la dénégation : difficile d’admettre que la médecine ait pu, en combattant une maladie, créer un fléau bien pire encore. Ressuscitant les souvenirs des témoins, exhumant des archives inédites et suivant une incroyable quête de la vérité, ce film plonge le spectateur dans l’histoire d’une controverse scientifique sans précédent.

Chacun sait que l’épidémie est partie d’Afrique. Mais il est souvent ignoré que les autorités sanitaires mondiales n’ont pas levé le petit doigt tant que l’épidémie n’avait pas atteint les pays riches !!! La population d’Afrique n’était pas un objectif financier pour l’industrie du médicament ... Le démarrage de l’épidémie daterait de 1957 au Rwanda, Burundi et au Congo. Une forte probabilité pèse sur le fait que ce serait le produit d’expérimentations "scientifiques" sur le dos des populations locales. Pour scientifiques, traduisez "dans l’intérêt des laboratoires et trusts pharmaceutiques"... Pourtant, l’Occident ne la "découvre" que dans les années 1980-1990 !!! Tant que l’épidémie ne concernait que des régions reculées d’Afrique, c’est-à-dire pendant vingt ans environ les labos s’en moquaient !!!!

L’Afrique, terre des apprentis sorciers ?

Quelques débats sur cette question

L’origine du SIDA
Cultures vaccinales ou arme bactériologique ?

Malgré tout le raffut qui a été fait autour du SIDA, un lourd mystère plane encore sur son origine, sur la cause de son apparition ! Il est certain qu’il doit y avoir à l’origine du SIDA un événement inavouable parce qu’il n’a jamais été question d’en parler dans les médias, sinon pour entendre des énormités : "transmission par copulation avec le singe vert, par consommation de singe, ou par morsure..." (lu dans la presse !).
Supputations vaccinales, la thèse qui domine

Apparu officiellement vers 1981, le HIV aurait été détecté assez rapidement dès 1983 par Monsieur Luc Montagnier, de l’Institut Pasteur-Merrieux. Il s’agirait d’un recombinant génétique d’un virus inoffensif présent chez le singe vert d’Afrique, le macaque ou le chimpanzé.
"Le virus du sida s’apparente justement à un virus simiesque présent dans le rein utilisé en Afrique pour la fabrication des vaccins contre la polio, la variole, ou contre la rage. Le virus affectant les singes, non mortel pour eux et pour l’homme, est devenu mortel pour l’homme à la suite d’une recombinaison génétique avec un autre virus" (1). "l’invasion des mutants"
"Le virus peut se transformer génétiquement et devenir patholgène... Dans certaines conditions, il est contraint à muter et à développer de nouvelles souches. C’est ainsi que s’expliquent les nouvelles épidémies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage d’un virus de singe à l’homme." (d’après Sciences & Vie n°934, dossier Virus, Juillet 1995)
Les cultures vaccinales se faisaient et se font encore sur les reins de singes verts ou de macaques... Tous les biologistes doivent savoir maintenant le danger de telles manipulations vaccinales : on n’est jamais à l’abri de mutations qui rendent ces virus auparavant inoffensifs, mortels pour l’homme, soit par dégénérescence, soit par croisement, soit par la présence de fragments d’ARN cellulaire ayant acquis une autonomie propre.
Cette recombinaison fut peut-être accidentelle, peu importe... ce sont des scientifiques qui en sont responsables, et qui le nient. Les victimes de cette désinformation se comptent par millions ! Que sait-on sur cette épidémie qui touche exclusivement les populations des pays pauvres, les homosexuels et les accros de la seringue ?

"Le virus du SIDA a été créé de toutes pièces par l’homme à la suite d’une erreur de manipulation dans un laboratoire." (Louis de Brouwer dans l’Ère Nouvelle, Nov-déc. 1988 p.9)
"Les 7 pays les plus touchés par le SIDA sont ceux d’Afrique centrale, là où la vaccination antivariolique fut la plus intense. Le Brésil, où la campagne d’éradication fut instituée à grande échelle, enregistre le plus fort taux de sidatiques d’Amérique latine ; Haïti est la voie par laquelle le SIDA s’est répandu aux États-Unis... les plus forts taux de SIDA coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination."
"Dans un nouvel hôte, le virus peut se transformer génétiquement et devenir pathogène." Voyons comment les choses se passent, selon P. Rossion dans Sciences & Vie. "En pénétrant dans un nouveau biotope, le virus trouve des conditions de vie pour lesquels il n’est pas adapté. Il ne peut donc plus proliférer. Aussi, sous la pression de l’environnement [sic], il se trouve contraint à muter et à développer de nouvelles souches. Comme ces souches sont nouvelles pour l’hôte, et que celui-ci n’a pas encore appris à cohabiter avec, elles sont forcément pathogènes. Quant aux hôtes infectés par le virus, ils sont également sélectionnés en fonction de leur capacité à lui résister. Cet ainsi que s’expliqueraient la plupart des nouvelles épidémies observées ces dernières décennies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage accidentel d’un virus du singe à l’homme."

Le sida aurait donc été créé de toute pièce par l’homme à la suite de cultures vaccinales sur des reins de singes d’Afrique. Il serait apparenté à un virus déjà présent chez le singe, le SV 40, sans qu’il soit virulent pour le singe ni pour l’homme. C’est par mutation ou accident génétique que ce virus a donné le recombinant génétique qu’est le rétrovirus du SIDA, le VIH.
À l’appui de cette hypothèse, quatre arguments :
 D’une part, l’infection expérimentale de singes par le VIH ne provoque pas l’apparition de la maladie.
 D’autre part, dans le sang des singes verts d’Afrique il existe un virus, le VIS, en général inoffensif pour l’animal, qui présenterait des analogies troublantes avec le VIH.
 Enfin, les campagnes vaccinales, en Afrique. Il paraîtrait que c’est à l’ouest de la crête Congo-Nil, dans la vaste cuvette occupée notamment par le Zaïre, qu’à démarré l’épidémie du SIDA.
En dépit des allégations vaseuses sur les mœurs indigènes, les virus apparus ces derniers temps ne sont donc pas nés par génération spontanée. Ils proviennent de souches ancestrales qui, en culture, se sont transformées génétiquement et non du fait "de la pression de l’environnement", comme cela est dit dans Sciences & Vie, N°934 "Virus, la fin de l’homme ?" (p. 40-52) juillet 1995.
 On a déjà vu des cas semblables où un virus désactivé redevenait actif et virulent en présence d’un autre. On ne peut éliminer ce phénomène, comme on ne maîtrise pas la radioactivité et ses effets sur nos gènes...
Sur la polémique initiale, les dessous des cartes, la thèse peu médiatisée de l’origine vaccinale du sida, je me réfère au livre du docteur Yves Daniel aux éditions du Dauphin (Déc. 1991) : "Comment vivre jeune et plus longtemps" (par la prévention, la connaissance des dangers). Sachez-le, cet ouvrage n’est pas comme les autres. "Il se situe résolument hors des sentiers communs, des conditionnements collectifs et des a priori. Il ne triche pas et ne fait aucune concession hypocrite à la langue de bois habituelle... Il est accessible à tout esprit libre, ouvert et encore doté de bon sens."

Pourquoi le singe vert d’Afrique, infecté en permanence par le SIV ne développe-t-il jamais un SIDA ? ce virus serait inhibé par la protéine interleukine 16, d’après les chercheurs allemands. "SIDA, la nouvelle piste" (Sciences & Vie n°940 p.32, janvier 1996)
Février 2000 : Science & Vie, en se référant au livre de l’américain Edward Hooper, apporte une confirmation à ce que nous disions déjà depuis longtemps :

« Un journaliste américain lance un pavé dans la mare : le virus serait le fruit d’une manipulation malencontreuse lors de la mise au point d’un vaccin oral contre la poliomyélite. Administré à près d’un million d’Africains, c’est un vaccin antipolio cultivé sur des reins de chimpanzé qui serait à l’origine du SIDA. Où, quand et comment est apparu le redoutable virus du SIDA ? Dans l’ex-Congo belge, en 1958, où une campagne de vaccination servit de test in vivo au nouveau vaccin du Winstar Institut of Philadelphia, dirigé par Hilary Koprowski et Ghislain Courtois. On utilise encore des tissus animaux pour fabriquer des vaccins... »

Quelques témoignages

suite à venir....

Messages

  • Edward Hooper accuse le laboratoire médical de Stanleyville d’ avoir concocté un vaccin anti-polio à partir de tissu de singe contaminé entre 1957 et 1960. Il précise en 2003 que le vaccin anti-polio expérimental avait été administré dans au moins 27 endroits différents, tous situés en RD Congo, au Rwanda et au Burundi. « J’ai découvert que 68% de tous les premiers cas de Sida en Afrique ( et à part quelques petites exceptions dans le Monde), et 76% de toutes les premières contaminations au H.I.V. sur le continent proviennent des mêmes villes et des mêmes villages où ce vaccin avait été administré entre 1957 et 1960 ». Près d’un million d’Africains auraient servi de cobayes pour ce vaccin expérimental

  • Février 1959. Arno Motulsky et Jean Vandepitte, deux médecins américain et belge, sont engagés dans la recherche microbiologique contre le paludisme à Léopoldville [l’actuel Kinshasa], la capitale de ce qui était alors le Congo belge. Avec l’aide des médecins locaux, ils recueillent des échantillons de sang sur le personnel médical, les patients de l’hôpital et les membres de la police. Vingt-six ans plus tard, en 1985, ces échantillons, ainsi que d’autres venus de divers endroits de l’Afrique subsaharienne, parviennent aux Etats-Unis. Le Pr André Nahmias, de l’université Emory à Atlanta, les teste pour déceler la présence d’anticorps contre le virus responsable du sida. Les analyses effectuées sur cet échantillon, le L70 ­ tiré d’un lot de 99 spécimens prélevés à Léopoldville en 1959 ­, se révèlent positives à tous les examens. Recueilli sur un homme africain inconnu, le L70 constitue le plus ancien exemplaire connu du virus de l’immunodéficience humaine, ou VIH.

    Le virus s’est transmis soudainement à l’homme

    Nul ne sait ce qu’il est advenu de cet homme, mais, dans les vingt années qui ont suivi ce prélèvement ­ et avant 1981, l’année zéro du sida, celle où les Etats-Unis ont officiellement reconnu l’épidémie ­, un certain nombre d’autres Africains et d’Européens de passage en Afrique seront contaminés par le VIH-1, la première souche de ce virus à avoir été identifiée. Ces cas, traités dans les hôpitaux et les cliniques du Congo notamment [qui s’est appelé Zaïre de 1971 à 1997], mais aussi du Rwanda et du Burundi, présentaient ce que nous reconnaissons aujourd’hui comme les principaux symptômes du sida : sarcome de Kaposi particulièrement marqué, toxoplasmose, diarrhée, tuberculose. A l’époque, la médecine était restée impuissante, mais des prises de sang furent réalisées et, des années plus tard, après les tests, les échantillons ainsi prélevés révélèrent la présence de VIH. Fait très troublant : 87 % d’entre eux ­ c’est-à-dire de tous les échantillons connus de VIH-1 provenant d’Afrique avant 1980 ­ viennent de villes où des Africains ont reçu le même vaccin antipoliomyélitique oral, entre 1957 et 1960. Absolument tous les cas connus de VIH-1 en Afrique antérieurs à 1981 se situaient à moins de 160 km de ces lieux de vaccination. Existe-t-il un lien entre le sida et le vaccin antipoliomyélitique ? Edward Hooper prétend que oui et, dans son troublant ouvrage The River : A Journey Back to the Source of HIV and AIDS* [La rivière : retour aux sources du VIH et du sida], il avance des arguments frappants et bien documentés.
    L’hypothèse n’est guère nouvelle. De par le monde, au moins trois chercheurs ayant travaillé indépendamment les uns des autres ont fourni des versions légèrement différentes de la théorie avancée à la fin des années 80. L’un d’eux était Jennifer Alexander, responsable du département de microbiologie à l’université du Witwatersrand (Johannesburg), qui, avec Gerasmos Lecatsas, chercheur en virologie à la Medunsa (école de médecine d’Afrique australe), a fait état de cette hypothèse relative au vaccin antipoliomyélitique dans des lettres ­ parues dans le SA Medical Journal en 1989, puis dans la revue médicale britannique The Lancet, en 1992. Ces deux lettres suscitèrent une levée de boucliers dans les milieux médicaux. C’est à la suite d’une rencontre avec Jennifer Alexander, en 1992, qu’Edward Hooper renonça à sa carrière d’enseignant et consacra son existence à démontrer la théorie selon laquelle ce vaccin était à l’origine du sida.
    Une question sous-tendait son enquête. Si, comme on en est certain aujourd’hui, le VIH remonte aux rétrovirus présents chez certaines espèces de singes africains, tels que le virus de l’immunodéficience du singe, ou VIS (qui est la forme la plus proche du VIH), comment ces derniers ont-ils pu se transmettre d’un coup ­ et non pas graduellement ­ aux humains à la fin du XXe siècle, comme le laissent entendre ceux qui considèrent le franchissement de la barrière des espèces comme une évolution naturelle ? D’après Edward Hooper, la réponse la plus évidente est la suivante : c’est parce que les médecins les leur ont inoculés en étant animés des meilleures intentions du monde.
    Au Congo, Edward Hooper s’est tout particulièrement intéressé au camp de Lindi, situé sur le fleuve Congo, à quelque 14 km de Stanleyville (l’actuel Kisangani), où des singes capturés étaient enfermés dans des cages, puis sacrifiés pour leurs reins. Ces reins étaient ensuite utilisés pour obtenir des substrats ou cultures cellulaires permettant de perfectionner les vaccins. Ces derniers avaient été mis au point par l’un des pionniers américains de la virologie, Hilary Koprowski, et furent les premiers à être administrés à des humains, en 1950.

    • Cessez de rencontrer des Salades au nom de la RDC et de l’Afrique. Vous les cochons blanc vous voulez toujours parlez de l’Afrique dans le noire et traitez l’homme noir comme une race inférieure.

      Ce fameux virus tire son origine aux USA plus précisément à Los Angeles et à New-York. Arrêtez avec vos conneries des tarés blancs, des culs de singes, des cochons.

      Et alors si c’est la RDC ou Congo-Belge en est l’origine suite au vaccin de Poliomyélite comme vous l’évoquez et alors qui en sont les inventeurs de ce vaccin ? N’est-ce pas les cochons Belges ? Ils ont fabriqué ce vaccin dans le but d’affaiblir et d’éliminer les noirs et voilà la suite.

      Mais, moi, en mon humble avis le Sida est fabriqué par les blancs. Laisser salir l’image des noirs.

    • Cessez de rencontrer des Salades au nom de la RDC et de l’Afrique. Vous les cochons blanc vous voulez toujours parlez de l’Afrique dans le noire et traitez l’homme noir comme une race inférieure.

      Ce fameux virus tire son origine aux USA plus précisément à Los Angeles et à New-York. Arrêtez avec vos conneries des tarés blancs, des culs de singes, des cochons.

      Et alors si c’est la RDC ou Congo-Belge en est l’origine suite au vaccin de Poliomyélite comme vous l’évoquez et alors qui en sont les inventeurs de ce vaccin ? N’est-ce pas les cochons Belges ? Ils ont fabriqué ce vaccin dans le but d’affaiblir et d’éliminer les noirs et voilà la suite.

      Mais, moi, en mon humble avis le Sida est fabriqué par les blancs. Laisser salir l’image des noirs.

    • Je crains que ton accusation ne tombe largement à côté de la plaque car nous ne salissons pas l’image des noirs et que la réalité nous est plus chère que le pouvoir capitaliste, qu’il soit blanc ou pas !

  • Chronologie.

    27 février 1950 : Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un
    enfant américain de Letchworth village.

    12 avril 1955 : Le vaccin de Jonas Salk est homologué. C’est un vaccin qui utilise un
    virus inactivé, autrement dit « tué » et qui nécessite trois injections. Une campagne de vaccination de masse suit cette
    homologation aux Etats- Unis. 90 millions d’Américains seront vaccinés.

    23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination
    antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d’entre eux meurent. Des lots de vaccins
    provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant.

    Mai 1955-1960 :
    Ce drame relance la course au vaccin entre Albert Sabin, au Children’s Hospital Research Foundation (Cincinnati), et Hilary
    Koprowski, d’abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie.

    1958-1959 :
    Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS.

    1957-1960 : Hilary
    Koprowski teste son vaccin expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains du Congo belge.

    Novembre 1958 : Albert Sabin analyse
    le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu.

    Novembre 1958 : L’OMS
    désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.

    Printemps 1960 : Le vaccin oral d’Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations
    de masse.

    Durant l’été 1955, Hilary Koprowski et Ghislain Courtois, virologue et directeur du laboratoire médical de Stanleyville (Congo
    belge), se rencontrent lors d’un colloque au Kenya et décident de créer un camp d’élevage de chimpanzés pour faire
    officiellement des recherches sur l’hépatite et la polio.

    Chronologie.
    Hilary Koprowski et le Congo belge

    1er mai 1956 : Le projet aboutit : ouverture du Camp Lindi, situé en retrait de Stanleyville. Ghislain Courtois en est le
    directeur.

    Janvier 1957 : Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au Camp Lindi.

    Février 1957 : Ghislain Courtois reçoit Hilary
    Koprowski pour la première fois au Camp Lindi. Ils immortalisent cette visite par une photo « officielle » devant la pancarte du
    camp.

    Mars 1957 : Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental « CHAT » de Hilary Koprowski à
    Stanleyville.

    1er mai 1957 : Hilary Koprowski quitte les laboratoires Lederle à Pearl River dans l’État de New York (Etats-Unis)
    avec son vaccin oral expérimental « CHAT ». Il devient directeur du Wistar Institute à Philadelphie.

    1er octobre 1957 :
    Inauguration en présence de Hilary Koprowski, Ghislain Courtois et toute l’équipe des médecins belges du nouveau laboratoire
    médical de Stanleyville (Congo belge). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l’époque.

    26 décembre 1957 : Deux ans et demi après l’ouverture du camp, Gilbert Rollais, le chasseur officiel du camp et son équipe de Pygmées ramènent le 401e chimpanzé au Camp Lindi.

    1er février 1958 : Fritz Deinhardt, spécialiste en cultures de tissus au Children’s
    Hospital de Philadelphie arrive à Stanleyville pour, officiellement, faire des recherches sur l’hépatite.

    Du 24 février au 10 avril 1958 : En l’espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin « CHAT 10A11 » dans la vallée de la Ruzizi, frontière entre le Congo belge, le Rwanda et le Burundi. Novembre 1958 : L’OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge. 1959 : Dans le cadre de leurs recherches, Joseph Vandepitte et Arno Motulsky font le tour du Congo belge et collectent 2000 échantillons de sang humain. En 1985, le chercheur André Nahmias découvrira que l’un de ces échantillons est positif au VIH... Juin 1960 : Indépendance du Congo belge. La situation politique entraîne la fermeture du Camp Lindi dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental

  • bonjour
    voici quelque chose de nouveau ! a vérifier !!
    mais tres plausible !!

    http://fr.sott.net/article/15925-Le-virus-du-SIDA-aurait-bien-ete-cree-artificiellement
    de quoi relancer les débats !!
    M.Poirot

  • La pandémie de sida aurait « très probablement débuté à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, dans les années 20, avant de se propager dans le monde en pleine mutation. C’est l’hypothèse de chercheurs qui ont reconstitué le cheminement de cette infection responsable de 36 millions de morts depuis son apparition.

    Cette équipe internationale de recherche a pu reconstituer l’histoire génétique du rétrovirus VIH (virus de l’immunodéficience humaine) responsable du sida, se concentrant sur la souche du groupe M, la plus fréquente.

    Le chemin de fer a favorisé la propagation

    Les virologues savaient déjà que ce rétrovirus a été transmis des singes à l’homme au moins à treize reprises, mais qu’une seule de ces transmissions est responsable de la pandémie humaine. C’est seulement cette transmission spécifique qui a abouti à l’émergence du VIH-1, à l’origine de la pandémie qui a entraîné près de 75 millions d’infections à ce jour, la plus grande partie en Afrique subsaharienne.

    Les analyses du groupe de chercheurs des universités britannique d’Oxford et belge de Louvain laissent penser qu’entre les années 1920 et 1950, une combinaison de facteurs, dont l’urbanisation rapide, la construction des chemins de fer en République démocratique du Congo (RDC), alors le Congo belge, ainsi que des changements dans le commerce du sexe, a favorisé l’émergence et la propagation du sida à partir de Kinshasa.

  • Il est faux de prétendre que le sida touche exclusivement les populations pauvres , les homosexuels et les accros de la seringue ! les populations hétérosexuelles sont touchées elles aussi ! il est vrai que les pratiques homosexuelles ( pénétration anale sans préservatif ; utilisation de poppers qui inhibent les facultés de jugement et de volonté) contribuent grandement à la prolifération du sida dans la population homosexuelle ; mais elle n’est pas la seule touchée !

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